Pourquoi la « bonne société », à jamais en queue de peloton, répond-elle toujours et compulsivement à l’instinct qui lui commande de retarder de plusieurs années des évolutions souhaitables et vivifiantes ? Et sur quel principe démocratique se fonde-t-elle pour décréter ce qui est le mieux pour autrui et pour le groupe ?
Le monde actuel est-il, à son estime, si enviable ? Ne perçoit-elle pas que l’absence de sens mène tout droit au néant ?
Les pauvres ? “Qu’on leur donne à bouffer, ils n’ont pas besoin de spéculer, ni de comprendre : nous sommes là pour ça ! Et ce n’est pas la recrudescence des suicides, des meurtres intrafamiliaux, des tueries, voire même des guerres, qui vont nous amener à changer d’avis : all that’s but collateral damage for the Greater Good ! Nous sommes là, figés pour l’Eternité, et rien d’autre ne compte ! Aaaaamen…”
Ces marionnettes rouillées nous font perdre un temps précieux !
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