BIG BANG : mijn vragen…

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Indien ons universum, dat minstens uit 100 zonnestelsels bestaat, welke op hun beurt miljarden sterren bevatten, deel zou uitmaken van een multiversum, waarom zouden we er dan per se van uitgaan dat er geen enkel fysiek contact tussen de verschillende universa mogelijk is ?

Principieel kan er niemand in mijn hoofd, dat zelf (hopelijk) uit tientallen miljarden breincellen bestaat, maar die cellen communiceren tussen elkaar door middel van energie, meer bepaald elektriciteit. Wie kan er dan met absolute zekerheid beweren dat er geen middel bestaat om vanuit een uitwendig kanaal, welke dit ook moge wezen, met mij gedachten uit te wisselen door middel van een elektrische influx ? En welke zouden – even terzijde – de gevolgen van een dergelijke uitvinding zijn op maatschappelijk vlak ?

Wat als de 96 % materie uit het universum waarvan we niets weten behalve dat het er is (“a known unknown”, zou de andere zeggen), hoofdzakelijk bestaande uit zwarte materie – weer eens een wetenschappelijk bewijs dat zwart niet moet onderschat worden – buiten een soort boom dat het geheel helpt stand te houden, ook als een vessel zou fungeren, een kanaal tussen werelden heen, hetzij binnen ons eigen universum, waardoor ruimteontdekking een miljard giant steps for mankind in één klap zou kunnen zetten, hetzij tussen verschillende universa ? Is dit sowieso, op uiterst lange termijn (naar mensenmaat), niet de enige uitweg in een steeds verder uitbreidend universum waarin de een na de andere de sterren zullen verdwijnen ?

Waarom gaan we er bovendien steeds van uit dat eventuele buitenaardse wezens hetzelfde technologische niveau zouden hebben als wij ? Waarom zouden zij bijvoorbeeld de barrière van de lichtsnelheid al lang niet zijn overstegen ? En indien ze daartoe wel in staat zijn, waarom zouden ze dan niet evenwel hun eigen moleculaire morfologie kunnen aanpassen ? Als we ons aliens inbeelden beschikken die immers meestal over een aantal menselijke trekken. Althans, ze zijn bijna altijd organisch, en dan nog volgens onze normen (lees post dd. 03/12/10). Zelden stellen we ze ons voor als pure energie die tegelijk wilskracht en gedachten mee zou kunnen sleuren, of beter, mee zou kunnen drijven. Dit zou dan wel een essentiële, volmaakte fusie betekenen… En als die E.T.’s zo geavanceerd zijn, zijn ze dan het kwaadaardige dat ons dagdagelijks bestaan van op grote schaal niets betekenende insektjes overheerst kunnen overmeesteren ? Zo ja, zijn ze dan gevoelloos of hebben ze op een of andere manier hun eventuele gevoelens in het geheel weten te incorporeren ?

Last but not least, al heb ik hier wel een en ander over gelezen, het is mij nog niet helemaal duidelijk waarom het voor onze wetenschappers onmogelijk blijft om de beroemde Planck Wall te doorbreken, met andere woorden waarom we nog niet kunnen bestuderen wat er voor de oerknal was. Daarover doen er wel een aantal hypotheses de ronde, zoals de stille, volmaakte, deïstische  melting pot van de broers Bogdanov (lees post van 02/11/10), maar zijn er ook andere ? Zo ja, welke ?

What do YOU see ? Que voyez-VOUS ? Wat ziet U ?………………..

Il ne veut rien…

De ce que Je veux pour lui !

Dit celle ou celui qui

Du Berceau initial

Par les pieds est sorti

M      O      N      E      Y

I

S

S

I

O

N

 

 

 

 

 

Kieke définit le cadre ?

 

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Qu’est-ce que faire, in fine ?…

Faire, voilà ce par quoi l’homme (la femme) se distingue, affirme sa singularité, pose sa personnalité, nous serine-t-on. Il faut juger quelqu’un non sur sa pensée ou sa parole, mais sur ses actes. Mais, à l’instar de la psychologie de comptoir selon laquelle qui critique, s’indigne trop vertement ou pointe du doigt des carences sociales, serait en réalité en déficit d’amour propre, un tel one-liner ne restreindrait-il pas symptomatiquement le champ de ce qu’il est possible de faire, ou de ce que faire implique ?…

Faire, c’est quoi ? Avec sa truelle, son compas et son équerre, le maçon fait. Il construit quelque chose de tangible, de concret, d’opératif. L’aide-ménagère qui balaie les bureaux déserts à la tombée de la nuit fait. Le journaliste qui enquête sur le dernier scandale politique en date fait… Tout ce qui se fait se vaut-il absolument ? Telle ou telle activité ne pourrait-elle se faire sans l’homme ? Et si faire égale construire, quid des constructions spéculatives ?

Ceci nous amène à la seconde question : construire, c’est quoi ? Qui construit et que peut-on considérer comme une construction ? Le cadre économique, c’est-à-dire l’échange de valeurs (travail contre argent) serait-il l’indicateur exclusif de ce qui peut se faire ? En d’autres termes, ce qui se fait doit-il rapporter afin d’être apprécié comme un ouvrage, comme une œuvre ? Ou le simple fait de mettre en commun ce que l’on fait est-il suffisant ?

Le plus généralement, le philosophe pense. Est-ce à dire qu’il ne fait pas ? Ou doit-il courir les théâtres des injustices mondiales pour faire partie de ceux qui font… vraiment ? Et le scripteur, que fait-il, au juste ? Des écrits vains ou des ouvrages ? Ecrire, est-ce faire ou ne pas faire ? That’s another question, isn’t it ? Pourquoi se souvient-on, des siècles après leur trépas, d’écrivains célèbres ? C’est tout de même qu’ils ont dû faire quelque chose, non ? Et penser, simplement penser, ce n’est pas ne rien faire, que je sache : des neurones se connectent et impriment à l’esprit une direction particulière qui n’a rien du néant ! Oui, mais comment faire pour rendre du vaporeux tangible ?

L’élu qui pense et qui dit peut être sincère, mais que fera-t-il, en particulier sous la pression de l’opposition politique ? Et s’il répète à qui mieux mieux de vaines promesses, s’il se sert stratégiquement du langage pour exclure, ne fait-il rien ? Et le ou la marié(e), qui se contente de dire « je le veux », qu’on n’aille pas leur dire qu’ils n’ont rien fait, surtout dix ans après…

A l’heure de l’interconnexion globale, est-il possible de ne rien faire ? Se reposer dans un hamac, rêver d’un horizon meilleur pour l’Humanité, et ainsi s’abstenir de faire ce qui pourrait à cette dernière être dommageable, est-ce la neutralité ou, d’une certaine manière, est-ce faire ?

Etre, serait-ce donc faire, quoi que l’on fasse et même si l’on ne fait rien ?…

WAKE UP !!! Rupert Murdoch n’est que l’épicentre d’un gigantesque voyeurisme médiatique international organisé !

Avant nous, d’autres ont entrepris, avec plus ou moins de succès, de dévoiler le dessous des cartes de la gigantesque tromperie médiatique. Ne vous méprenez pas : il ne s’agit aucunement d’un complot, au sens où l’entendent certains, mais d’une organisation antisociale effrontée et méthodique.

Récemment, quelque commentateur avisé – il en reste une poignée – expliquait à la télé que la fin d’un régime se marquait toujours par le fait de livrer en pâture  ses figures les plus emblématiques au Moloch populaire : la bête, que l’on a savamment mise au pain sec et à l’eau, a faim, voyez-vous, et il faut la nourrir ! Car la bête est entretenue, nul ne cherche à l’assagir, encore moins à l’affranchir, dans la mesure où elle joue un rôle prédéfini dans la spirale qui mène la Majestueuse Civilisation Occidentale au néant blanc ! Comme jadis, certains prêtres roublards des civilisations préchrétiennes sacrifiaient tantôt un animal, tantôt un membre innocent de la communauté (le plus jeune homme, parfois) sur l’autel improbable de la temporaire satisfaction de l’appétit céleste, en réalité pour asseoir leur autorité perverse – des offrandes auxquelles, à en croire un texte fondamental, Dieu a mis un terme définitif – nos prêtres cathodiques contemporains ont besoin de lyncher de temps à autre un membre éminent des leurs. Mais, ajoutait l’analyste, une telle offrande marque uniquement un passage de témoin dans les hautes sphères. La nouvelle garde souhaite se débarrasser de l’ancienne. Cette dernière se trouve dès lors absolument vilipendée par les masses poussées à bout, tandis que la première peut asseoir dans l’ombre son autorité nouvelle.

Le commentateur dont question évoquait-il des dictatures tropicales ? Que non : c’est du cas Murdoch qu’il était question ! Murdoch, ce magnat international de la presse, aujourd’hui passablement en déclin, qui faisait chanter tout l’appareil politique anglo-saxon, britannique en particulier, s’est fait trucider pour quelques écoutes téléphoniques, dont certaines, qui visaient l’entourage d’une jeune fille kidnappée et assassinée, étaient proprement diaboliques.

Ainsi, comme si la pièce de théâtre s’était déroulée au milieu du XXe siècle, quelques dizaines d’années après l’invention du téléphone par Bell, ses metteurs en scène ont tenté de faire croire à l’opinion publique qu’une technologie complètement obsolète – les écoutes téléphoniques – étaient à l’origine du scandale. A l’époque d’Echelon, ce gigantesque réseau de surveillance et d’interception de données de toutes sortes, militaires mais aussi civiles (privées et professionnelles), à l’époque de la surveillance constante et tous azimuts d’individus par des satellites militaires et commerciaux – le cocaïné Branson se vantait encore récemment de la « privatisation de l’espace » ! – capables de zoomer jusqu’au dixième de centimètre, même en oblique depuis une dizaine d’années – il s’agissait de rassurer le citoyen lambda sur le semblant de vie privée qu’il lui reste. Or, comme le citoyen lambda est lassé après la dure journée de labeur que d’autres metteurs en scène lui imposent, obnubilé par les factures à payer à la fin du mois, son conjoint (sa conjointe) qui lui tape sur les nerfs et la bouffe à procurer à ses gosses, il ne réfléchit pas plus loin. Comme pour clore ce cercle imparfait, cette caverne néoplatonicienne éternelle, c’est aux mêmes médias qu’il s’en remet pour libérer son semblant de conscience de ses tracas quotidiens. « La télé, c’est tout ce qu’il me reste… » Combien de fois n’a-t-on entendu, dans les couches populaires, cet aveu d’abandon qui résonne comme une gifle pour le(s) convive(s) d’un soir ?

S’il réfléchissait davantage, l’électeur-esclave se poserait toutefois des questions hautement dérangeantes, l’ironie consistant dans les quelques clés de compréhension qui lui sont délivrées par une frange du spectacle américain scénarisé : comment se fait-il, par exemple, que dans une société de surveillance permanente et de fichage généralisé, un tueur sanguinaire comme Breivik ait pu passer à l’acte ? Qui l’a laissé faire ?

La consanguinité intellectuelle des médias est établie : le droit de cuissage y est la règle, y compris au cinéma. Tout ce petit monde se baise allègrement au propre pour baiser ensuite le public dans son ensemble au figuré. Ceux qui tentent vainement d’apporter quelque clarté aux débats renoncent bien vite devant l’énorme appareil de désinformation auquel ils font face : d’une certaine manière, les médias occidentaux (certains plus que d’autres) sont les gardiens d’un temple en voie d’effondrement. Ils considèrent, à juste titre, qu’il convient de circonscrire la parole médiatique à ceux qui respectent certaines règles démocratiques (ne pas appeler à la haine, par exemple), mais parallèlement, comme dans n’importe quel régime autoritaire, ils défendent le pouvoir en place. Pourquoi le siège de la télévision nationale est-il systématiquement, lors de toute révolte ou révolution, l’un des premiers lieux de pouvoir à être pris d’assaut ? Le pouvoir de broadcaster, quoique réduit par l’influence d’internet, est énorme : c’est la faculté de délivrer une vérité publique, même noyée sous les oripeaux du multipartisme, que des millions d’individus feront leur. C’est le formatage du « temps de cerveau disponible ».

Or, s’il est aisément compréhensible que des insurgés, dans tel ou tel pays plus exotique aux yeux des occidentaux, bouillent de renverser la voix de leur maître, tant la démocratie est pour eux un horizon, pourquoi semble-t-il si malaisé de faire passer dans les médias occidentaux quelque idée iconoclaste que ce soit ? Nous avons notre réponse : pas plus qu’ailleurs, les détenteurs autoproclamés et cooptés de notre pouvoir, à l’opacité avérée lui aussi, ne souhaitent-ils voir disparaître leurs prérogatives. Mais, au-delà de ce souci, commun à tout groupe influent, trône la conviction bien ancrée que notre système est le meilleur et, par conséquent, qu’il est fini, donc imperfectible puisque parfait !

Il est tellement parfait, d’ailleurs, ce système, qu’il entretient en permanence, ici plus que là, la nécessité de se fondre dans le moule crasseux de l’abandon total de soi et des autres au profit de la logique mathématique : les idoles de pacotille sont vénérées non pour leur créativité, mais pour le fric qu’elles génèrent et empochent. Les couches populaires sont piétinées en permanence par l’arrogance médiatique et le seul salut réservé à tel ou tel populo qui se distinguerait des autres est de souscrire indistinctement à cette logique socialement suicidaire ! La mélancolie du Tout est noyée dans un bain brunâtre de pisse, de rires forcés, de foutre, de touzes, de coke, de merde, de domination et de mépris dont plus rien ne distingue les éléments, alors que, dans l’indifférence suscitée, crèvent dans la rue les rebuts de la société.

Prenez Omar et Fred, par exemple, ces deux boursouflures médiatiques qui gagnent des ponts en abreuvant leurs spectateurs de prive jokes en boucle et de pitreries prépubères. Sympa, le homard, pourtant ? Oh oui, très sympa : intouchable, vecteur d’une meilleure compréhension interculturelle dans son dernier film, il nourrit pour ainsi dire toute sa vaste famille. C’est un héros ! Vraiment ? Et que leur apprend-il, à ses petits frères et sœurs et à tous les autres gosses ? Quel modèle de société véhicule-t-il ? Quelles perspectives leur offre-t-il à terme ? Ah, mais j’oubliais : les vaches sacrées, ça ne se critique pas !

Prenez Denisot, cette clette bourrée de fric qui, toujours et à toute occasion, s’efforce de demeurer superficiel, interroge toujours à côté de la plaque et en focalisant sur la personne plutôt que sur les enjeux ou les objectifs. Prenez Massenet, cette blondasse écervelée qui se la joue. Prenez Ardisson, le prince de la nuit sur le retour à la déco kitsch et criarde, qui essaie, qui essaie en s’y croyant à fond lui aussi, mais qui jamais ne dépassera le niveau de son nombril. Songez au cercle de plus en plus restreint de célébrités qui, elliptiquement, nous abreuvent de ce qu’il faut penser. MAIS QUI SONT CES GENS, BON DIEU ?

Des suppôts du pouvoir, de la servitude, du néant, qui, par leur gouaille, contribuent à rendre impossible tout mouvement, toute évolution, à lisser les profils, à faire croire que tout se vaut, à décérébrer, tel un Barthès et ses séquences de quelques secondes destinées à brouiller les esprits, à glorifier le bling et le fake, bref à maintenir le populo dans le gigantesque bain dont référence ci-dessus.

Récemment, le président Chavez s’interrogeait publiquement sur les pouvoirs réels des puissances occidentales : il trouvait curieux que l’ensemble des dirigeants sud-américains de gauche aient tous été soudainement frappés par le sale C. Récemment, Ahmadinejad clamait que l’Europe disposait d’un outil satellitaire destiné à influencer, voire contrôler, les masses nuageuses. Quelques dizaines d’années après Reagan et sa guerre des étoiles et, dans la foulée, Bush Sr. et son « new world order », que de sottes superstitions, en effet, auxquels les médias occidentaux libres ont bien fait de n’accorder aucun intérêt…

« Service après-vente, bonsoir ! » …

Thank you, VDL… BELFIOTE ALL ‘ACTIVE’ NOW !

“If over this crisis we ambition to prevail, not at each other’s sukkelaars should we direct our pijl…”

HOW MANY € MILLION EU FUNDS ON GOLF COURTS IN

SAINT-FRANCOIS, GUADELOUPE, I ASK ?

STOP FACEBOOK ‘MINORITIES’ BASHING !!!

S-He / What doesn’t harm one, one couldn’t want to harm…

“[…] There’s a third world… the world of objective contents of thoughts.” Never say that it’s the world of the mind…

CIVILIANS ARE NOT THE ENEMY !

Rev, 6 (NIV)

1 “I watched as the Lamb opened the first of the seven seals. Then I heard one of the four living creatures say in a voice like thunder, “Come!”

2 I looked, and there before me was a white horse! Its rider held a bow, and he was given a crown, and he rode out as a conqueror bent on conquest.

3 When the Lamb opened the second seal, I heard the second living creature say, “Come!”

4 Then another horse came out, a fiery red one. Its rider was given power to take peace from the earth and to make people kill each other. To him was given a large sword.

5 When the Lamb opened the third seal, I heard the third living creature say, “Come!” I looked, and there before me was a black horse! Its rider was holding a pair of scales in his hand.

6 Then I heard what sounded like a voice among the four living creatures, saying, “Two pounds of wheat for a day’s wages and six pounds of barley for a day’s wages, and do not damage the oil and the wine!”

7 When the Lamb opened the fourth seal, I heard the voice of the fourth living creature say, “Come!”

8 I looked, and there before me was a pale horse! Its rider was named Death, and Hades was following close behind him. They were given power over a fourth of the earth to kill by sword, famine and plague, and by the wild beasts of the earth.

9 When he opened the fifth seal, I saw under the altar the souls of those who had been slain because of the word of God and the testimony they had maintained.

10 They called out in a loud voice, “How long, Sovereign Lord, holy and true, until you judge the inhabitants of the earth and avenge our blood?”

11 Then each of them was given a white robe, and they were told to wait a little longer, until the full number of their fellow servants, their brothers and sisters, were killed just as they had been.

12 I watched as he opened the sixth seal. There was a great earthquake. The sun turned black like sackcloth made of goat hair, the whole moon turned blood red,

13 and the stars in the sky fell to earth, as figs drop from a fig tree when shaken by a strong wind.

14 The heavens receded like a scroll being rolled up, and every mountain and island was removed from its place.

15 Then the kings of the earth, the princes, the generals, the rich, the mighty, and everyone else, both slave and free, hid in caves and among the rocks of the mountains.

16 They called to the mountains and the rocks, “Fall on us and hide us from the face of him who sits on the throne and from the wrath of the Lamb!

17 For the great day of their wrath has come, and who can withstand it?”

Musical purge : Jane’s Addiction w/ ‘Occupy’ images – fctnl female mud fite – dysfunctional HR – Y ambitions

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