Thank you, VDL… BELFIOTE ALL ‘ACTIVE’ NOW !

FLYER “GLOBAL MARIJUANA MARCH / DAY” (05/05/12, also in A’pen, Belgium !!!)

GLOBAL MARIJUANA MARCH / DAY : May 5, 2012 (Facebook account here : http://www.facebook.com/GlobalMarihuanaMarch)

In Antwerp / Antwerpen / Anvers :

 

CANNABISBEVRIJDINGSDAG, A’dam, 17/06/12

EVERYBODY AGAINST THE ‘WEEDPASS’  MEANT TO BAN ALL FOREIGNERS (google : wietpas) !!! Instead, let’s…

– give Ivo Opstelten, its “great architect”, as well as his krew, a pass out of the Dutch government ;

– demand the necessary guarantee from the left-wing parties that the ‘weedpass’ won’t be implemented, certainly not in major cities ;

– respect the Netherlands as foreign visitors and avoid any provocation ;

– lobby our own governments to finally PUT AN END TO THEIR SILLY WAR ON “DRUGS” !!!

BE THERE OR BE SQUARE ! (photographic coverage of last year’s edition here : https://intrgalaktiklyon.wordpress.com/2011/05/09/jah-is-my-light-the-source-is-my-guide-cannabis-liberation-day-2011-amsterdam-the-pics)

Whatever the attempt, as long as there’s soul !…

Plus que toute autre, l’époque que nous subissons inflige un supplice indicible à tout homme, à toute femme intègre. Le cynisme qui, naguère, occupait joyeusement les marges est aujourd’hui omniprésent, essentiel, dans un système à l’agonie dont tout concourt à la perte.

Le théâtre – le vaudeville, plutôt – s’est emparé de tout tandis que partout triomphent les sophistes aguerris. Faire feu de tout bois est devenu la règle, parvenir l’exclusif horizon. Les moissonneuses batteuses du spectacle ratissent tout sur leur passage ; la désolation est suprême !

De l’intime au commun, plus rien ne doit faire sens : tout flotte dans une espèce d’éther dont seuls le commerce et les devises prétendent vous extirper. Les sirènes du succès formaté saturent vos sens d’appels complaisants à rejoindre l’aliénation consentie mais forcée, à vous fondre dans le grand vide médiatique qui supplante toutes les constantes de la vie et fait de l’humain un puceron.

L’âme est l’ennemie ! L’amour, son fruit, la clé de voûte qui pousse à aller au-delà de toute structure établie et à créer, la menace ! Rendons-le donc impossible, prétendons qu’il est chimère, contrôlons en la plus furtive apparition jusqu’à l’étouffer : l’amour doit disparaître, son incompatibilité avec le système a été décrétée.

Le système, misogyne, exige la rudesse, le combat, la force et l’éphémère. Il ne tolère aucune velléité contraire : la compromission doit être totale, la pureté dans l’impureté entière. C’est dire si le dogme est faible et vacillant : il suffirait de quelque(s) volonté(s) pour le terrasser. Mais, partout, les garde-chiourmes veillent. Les primo-indignés devenus cerbères à force d’abrutissement, de lassitude ou de souci de perpétuation d’une domination subie ne tolèrent pas la différence puisque l’accepter équivaudrait à rendre leur parcours de vie caduc, ou très limité.

Le mouvement doit être total, rien ne doit lui échapper. Peu importe que le recul analytique, ce luxe, permette d’appréhender son aspect figé : tout tourne en rond, tout se perd et rien ne se crée… Néant, ô néant chéri, c’est à toi qu’ils dédient cette ellipse.

Individu et société sont des concepts éculés : seuls subsistent des outils ! Seule prime l’utilité de tout et de tous, dans sa plus étroite acception, et avec les finalités les plus diverses. Seules demeurent des équations intéressées.

Au bagne de l’esprit, la liberté ! Aux galères, l’égalité ! Quant à la fraternité… quoi donc ? Place à la superficialité, à l’analogie et au nivellement !!! Or, ce mouvement-là ne peut être inversé si l’on souscrit aux fondamentaux de l’ensemble.

Rébus du jour : “nous, les meks, on sait perkwé !”

Mon petit 1 :

VS.

Mon moyen 2 :

Mon assez gros 3 :

Ma sauce :

Big Smack 2 the winna !

Le règne des vendeurs de vent s’achève…

– Bonjour Monsieur, donnez-moi un kilo de pommes, trois kilos d’abricots et un kilo de litchis, s’il vous plaît.

– Les chambres doubles sont à réserver deux semaines au préalable, Madame.

– Et mettez-moi aussi un kilo de jambon, pendant que vous y êtes.

– Vous avez tout ce qu’il vous faut : lubrifiant, préservatifs ?

– Ca te dirait de… nous deux ?

– Déjà dix-huit heures ?

– Et vous voulez des oranges avec ça ?

– Où allez-vous, Monsieur ?

– Je me disais : vous êtes bien sapée et tout, mais il vous manque un châle.

– Pourrions-nous nous entendre, selon vous ?

– Voilà, ça fait trente-quatre euros cinquante, s’il vous plaît.

– Et pourquoi pas ? Bonjour chez vous.

– Bonjour chez vous.

Campaign or day @ the spa, Mr. K. Smith ?

Ideas or math ?…

“Do you masterbait ?”

 

Après Richard Ricard & Machin Chose avec La bite à Dudule“…

 

Après Jésus-Edouard Pornault, entré dans la légende avec Tiens, voilà mon zob“…

Après Franky Vincent et son inénarrableTu veux mon zizi ?

 

Josiane Massenutt bientôt en tournée dans toute la France avec « Z’avez pas vu ma DP ? »

AVEC JOSIANE, TOUS A LA TOUZE !!!

 

Mash-up marmalade : “the masks shall fall one after the other.”

Revoilà, dans un attelage aussi loufoque qu’invraisemblable où les rôles de good et de bad cop sont à volonté interchangeables, toutes ces mouchettes névrosées qui, autour du Buzz Préso, nous invitent, une fois encore, à assister à une pièce de toute pièce montée par l’imagination féculente des docteurs ès manipulation dont elles s’entourent, faite de discours pseudo alambiqués qui tâchent de masquer une déconcertante facilité intellectuelle et laissent percevoir toute la difficulté de décrocher la Lune en pêchant à la ligne, de traquer une pensée qui a, il y a longtemps déjà, quitté les rivages asséchés de la Dombes, de laisser une trace dans un tel océan de médiocrité beauf, mais faite aussi de petits entre-nous cosy et, ma foi, fort chaleureux avec la commune plèbe, pourtant conchiée hier du haut du yacht de l’oubli, faite, en somme, de leurres difformes, de mises en scènes pseudo romantiques qui flirtent avec le mépris, par lesquelles l’on laisse entendre que retourner à la mine n’est ni un impérieux désir, ni un splanchnique besoin, ni même un devoir imposé par l’habituelle clique, mais un service que l’on serait, à la rigueur, prêt à rendre, faite enfin, par voie de conséquence, de macaques médiatiques qui se croient devenus gorilles et qui enchaînent, show après show, les incohérences, les dénis de réalité, les platitudes et les outrages provoqués, servis à la sauce de la mauvaise foi caractéristique de cet horizon égéen dont les mille visages ont saturé la mosaïque d’images de la demi-décennie écoulée.

NOUS MERITONS MIEUX !

 

 

La com, c’est comme la rage : il n’y a qu’une bonne piqûre pour en venir à bout !

Qu’y a-t-il de commun entre les coupes sombres dans la sécurité sociale, le « fichier d’empreintes génitales » inauguré en grandes pompes par le premier trouduc de l’Intérieur voisin, dans la foulée des « fellations » prétendument improvisées par une sacrée coquine et des Lumières déculottées par tel ou tel olibrius, ou encore le panel républicain américain – impérial, en réalité – qui rivalise d’idiotie et de vice intellectuel pour devenir calife à la place du calife ? Le mépris manifeste du peuple, pardi !

Lorsque le crâne d’œuf suffisant qui préside aux peu glorieuses destinées des pensions publiques belges, tellement confiant dans la longévité de Di Rupo I qu’il vient d’annoncer souverainement et à la hâte (stress test ?), lors de la première semaine de gouvernement, le relèvement rapide de l’âge légal de départ à la retraite, assorti d’une réduction drastique du droit à la prépension et de la fin programmée d’une organisation flexible et individuelle de la carrière – thème prétendument libéral, pourtant – affirme œuvrer à la réduction du déficit public, ledit crâne d’oeuf se souvient pertinemment des 15 milliards d’eugros de largesses fiscales consenties aux entreprises durant l’ère Verhofstadt, son mentor, par la grâce de l’inflation masquée rendue possible par le passage à l’eugro, en 1999.

Quinze milliards d’eugros de ristournes et autres boni fiscaux aux entreprises en une dizaine d’années (1), sans la moindre contrepartie, voilà un petit pactole, en effet, que les Robins des relais et châteaux, à rebours de ce que commandent le bon sens commun, la conscience sociale et l’empathie vis-à-vis des petits, se chargent à présent de récupérer manu militari auprès de ces derniers ! C’est que, par ailleurs, le souffle chaud du flatulent a changé de direction et se dirige à présent vers les thatchériens flamands !

Mais, à souffle chaud, souffle chaud et demi : les semaines et mois qui viennent seront l’occasion de démontrer que le mépris continu des pseudo-élites politiques de centre-droit à l’égard des couches populaires se traduit immanquablement de deux manières : soit la violence indistincte, soit la grève générale ! IL EST GRAND TEMPS QUE LES GRANDS PATRONS PRENNENT DANS LE FION A LEUR TOUR, car le destin d’un peuple n’est pas lié au destin des grandes entreprises : ils sont, au contraire, en contradiction flagrante ! En effet, les pseudo-réformes envisagées ne sont, en réalité, à l’heure du trentième anniversaire du chômage de masse, qu’une manière de soumettre, de tenter de tuer dans l’œuf la contestation naissante, légitime !

Certes, avec une opposition francophone inaudible, car prise en étau par des considérations de marketing politique à l’opposé de ses convictions profondes et dominée par un crétin gominé dont le second (et donc ultime) mandat de président est arrivé à échéance il y a plusieurs mois déjà, s’opposer à ce qui a été péniblement mis sur pied peut s’assimiler à du masochisme, car la première alternative qui vient à l’esprit serait sans nul doute pire. La tension, sur les plateaux de télé du nord du pays, était d’ailleurs perceptible, à deux doigts de l’admonestation même, lorsqu’un autre lion flamand, poussé dans le dos par sa base échaudée, est venu annoncer cette semaine une fronde sociale sans précédent depuis les mouvements populaires de naguère (mineurs, agriculteurs, dockers, étudiants, …), et donc de très chaudes semaines et mois en perspective. Mais faire fi de toute opposition de gauche, c’est aussi faire le jeu de la droite !

En tout état de cause, il s’agit, pour les éminences crânes d’œuf, de communiquer, comme, dans la marine, les vaisseaux de guerre envoient des leurres pour déstabiliser leurs assaillants. « Ayez confiance, c’est pour votre bien ! » Quinze milliards sans contrepartie, vous dit-on, trouducs !

La com permet de faire avaler les pires couleuvres, elle peut faire passer du bleu pour du rouge ! La com n’a aucune essence, elle est vide. Demandez donc à Séguéla, il vous le dira (en privé) : la com est l’illustration parfaite du postulat naturaliste sur lequel se fonde le système libéral-capitaliste pour clamer son apolitisme.

Zadig & Voltaire, de même que les godes et autres mises en bouche que l’on s’envoie à la gueule, ce ne sont pas que des messages subliminaux que les intéressés s’adressent par médias interposés, c’est le fruit d’une longue maturation dans l’intellect de VRP d’agences de relations publiques : « Vas-y, Claudie, t’es complètement nul et t’as rien à dire, mais c’est pas grave. C’est tellement gros qu’on parlera de toi, et n’est-ce pas là l’unique objectif ? »

Elle peut se faire violente aussi, la com, car tous les moyens sont bons. Que l’on se rappelle Sharon et ses provocations verbales et physiques répétées à l’endroit des Palestiniens juste avant les élections, sur les pas duquel s’engage à présent un crétin républicain amériki parmi les autres, qui, malgré son appartenance supposée au KKK, diabolise un peuple entier en le qualifiant d’essentiellement terroriste. Puisque les idées ont perdu et l’ego a triomphé, pourquoi se gêner ? Je dirais même mieux, tiens : ces sales Palestoches, il faudrait tous les enfermer dans des camps ! Ah, mais j’oubliais : c’est déjà, grosso modo, le cas…

Si on laisse de côté la com, de quoi s’aperçoit-on ? L’indigence intellectuelle et morale des pseudo-prétendants califes, dans la droite ligne du W, est telle que l’on ne peut s’empêcher de penser que le GOP pourrait laisser passer sa chance, cette fois, en présentant un clone de Bob Dole et en continuant d’utiliser Big O comme paravent pour sa politique conservatrice et sa diplomatie agressive, comme il le fait depuis plusieurs mois, pour le faire exploser en vol, d’une manière ou d’une autre. C’est tellement plus fun, et moins risqué !

Dimanche dernier, en présence de ministres à la fois démissionnaires et fraichement émoulus (en vrac, un ex des Finances qui, selon de nombreuses enquêtes, a été, douze ans durant, un complice silencieux de la fraude fiscale à grande échelle des grandes entreprises (2), le futur président des socialistes belges francophones, une ministre de l’Intérieur couillue et à la dent dure), l’un des pilotes du tandem aux commandes de l’émission de débats politiques « Mise au Point » (RTBF) a entamé l’échange par une question originale, périlleuse même pour qui, comme le piteux président non élu du Directoire impérial européen, affirme établir entre politique et sentiments – politique et humanité, pourrait-on paraphraser – une cloison étanche : « sur le plan humain, qu’avez-vous retenu de ces 541 jours de crise ? »

On pouvait voir les éminences embarrassées. « Mais que me demande-t-il donc là », lisait-on sur les visages. « Chercherait-il, ce fourbe, à me déculotter en public, à me faire passer pour un sentimental face à mes nouveaux amis /adversaires / tontons flingueurs (3) ? » Peinant comme devant un exercice de dissertation particulièrement exigeant, tous ont répondu à côté de la plaque : « moi, ce que je retiens, c’est la découverte sincère d’une amitié naissante et à nulle autre pareille avec mon pote Leterme », moi ceci, moi cela… L’ego était de retour, sans doute même n’est-il jamais parti. Insistance du journaliste, reformulation… rien n’y fit : ce n’est que de la com, braves gens !

Et l’humilité, l’humilité face au peuple, à laquelle semblaient pourtant renvoyer les excuses de Di Rupo en amorce de son discours d’investiture, vous en faites quoi, Mesdames, Messieurs les Seigneurs ?…

___

(1)    Que l’on cherche à stimuler les PME, dont l’ancrage est local et donc bénéfique pour l’économie réelle et l’activité professionnelle, est très compréhensible. Que l’on se mette à plat ventre pour prendre le BEL 20 et autres NYSE dans le cul témoigne, en revanche d’une volonté politique à toute épreuve…

(2)    Selon ces enquêtes (de « Panorama », émission de la VRT, notamment), qui se basaient sur les témoignages concordants d’insiders au ministère des Finances, une grande entreprise court le risque monumental de se faire contrôler par le fisc tous les vingt-cinq ans, elle !

(3)    Biffer la mention inutile.

We are at a crossroads, aren’t we ? (PARENTAL DISGUST NOTE : 18 U.S.C. Section 2257 compliant – NEED BE 18+ TO VIEW THIS POST)

Until the philosophy which holds one race superior
And another inferior
Is finally
And permanently
Discredited
And abandoned, […]

[Me say Injustice, brotha !]

And until there are no longer
First class and second class citizens of any nation,
Until the colour of a man’s skin
Is of no more significance than the colour of his eyes,

[Me say No real Democracy !]

And until the basic Human Rights
Are equally guaranteed to all,
Without regard to race,

[There willa be a billinaires’capitalism !

So Me say : Rebl Yo Ass

Witta Peace Toward Da Needy!!!

Dis a use-fool chaos…]

Cuz’ until that day, the Dream of Lasting Peace,
World Citizenship,
And the Rule of International Morality,
Will remain nothing but a fleeting illusion to be pursued,
But never attained …

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